Michel Lhomme
Une immigration aux conséquences sanitaires dangereuses
Décidément en plus de Yellowstone, des quatre lunes, d'une menace thermonucléaire en Ukraine et sans parler de Valls à Matignon, il y a une certaine dose d'Armageddon et d'Apocalypse depuis quelque temps dans les dépêches. Dans le style, on reparle beaucoup, en ce moment, d'Ebola ou du Camp des Saints. Que se passe-t-il exactement ?
Bien que les responsables de l’Organisation mondiale de la santé travaillent pour stopper la diffusion du virus Ebola qui touche maintenant sept pays africains, le virus, l'un des plus violents qui soient, semblent bien poursuivre sa progression. En Guinée, les fonctionnaires du département de la Santé ont rapporté que l’épidémie était sous contrôle. L’épidémie du virus Ebola aurait déjoué, ces dernières semaines en Afrique de l'Ouest tous les efforts de confinement. D’après les groupes de secours chrétiens travaillant en Guinée et au Libéria, le nombre d’infections a grimpé de 15 % la semaine dernière.
En fait, bien qu’elle soit proche de la souche du Zaïre, la souche d’Ebola dont on parle actuellement est, d’après l’Organisation mondiale de la santé, nouvelle et différente. Cela explique les faux résultats négatifs des tests et ce sont ces faux résultats négatifs qui expliquent qu'en Afrique des personnes infectées par le virus sont rentrées chez elles pour se remettre de ce qu’elles pensaient être la grippe, ce qui a eu pour conséquence immédiate de propager davantage cette nouvelle souche du virus. Le résultat aurait été, en particulier en Guinée, une perte complète de cloisonnement de cette épidémie du virus.
On a parlé de quarante travailleurs clandestins venus de la zone d’épidémie qui auraient débarqué à Pise, en Italie et y seraient déjà isolés du fait de fièvres et de conjonctivites ensanglantées autour des yeux, indiquant des signes d’infection possible au virus Ebola, ce qu'a nié énergiquement la direction du centre de santé de Pise. Avec une arrivée probable à Pise du virus, le continent européen serait, en effet, immédiatement en danger. En fait, que le virus Ebola rentre en Europe par l'Italie n'aurait rien d'étonnant. Ce samedi 26 avril, à Lampedusa, 850 clandestins sont arrivés après avoir été secourus dans le Canal de Sicile. De fait, l'Italie a voté la semaine dernière une loi obligeant de secourir tous les bateaux d'illégaux pour éviter les naufrages mortels. C'est selon nous un véritable suicide collectif pour l'Europe, prôné bien évidemment au nom de l'humanitarisme stupide, le pape François en tête. Les médias continuent de parler d'immigration sauvage mais il s'agit maintenant d'un d'exode massif d’Africains, d'un déplacement gigantesque de population en déshérence fuyant un continent ravagé par les guerres ethniques et l'extrémisme religieux. Une première sonnette d’alarme aurait officiellement été tirée à Lampedusa, par le Ministère de la Santé italien.
D’après un rapport administratif, c'est le 16 avril qu'aurait été enregistrée la date à laquelle l’île sicilienne fut touchée par l’épidémie. S’il prenait quartier en Italie, le virus Ebola extrêmement contagieux (une simple poignée de main suffit à la transmission) passerait en France et sur tout le continent très rapidement. En cas d'épidémie confirmée en Europe, le transport aérien transatlantique serait forcément très vite concerné et la panique pourrait être sans précédent. Le virus Ebola est incurable (85 % de taux de mortalité), et est quasiment mortel au bout de quelques jours.
En Italie, ces derniers jours, l’inquiétude grandit face aux conséquences sanitaires du déferlement actuel des clandestins. Après Chieti dans les Abruzzes, c’est au tour de Modica, dans la province de Raguse en Sicile, de manifester sa peur. La ville est voisine du port de Pozzallo, où les clandestins arrivent actuellement à jet continu. Même la Repubblica a reconnu que « Pozzallo explose ». Il semblerait que les autocars, loués par l’administration à des compagnies privées, soient employés indifféremment pour le transfert des clandestins en centre d’accueil le soir et pour les sorties scolaires. Sans vouloir dramatiser il va de soi que la situation sanitaire des clandestins est aléatoire. On diagnostique régulièrement chez les immigrés la tuberculose, la gale, voire le sida. Certains parents italiens, en signe de protestation, ont décidé ces derniers jours de ne pas envoyer leurs enfants à une sortie scolaire tant que les transports en commun ne seraient pas vérifiés.
Ainsi, les Italiens anesthésiés et cadenassés par l'idéologie mondialiste du pape et la décision européenne du mois dernier de secourir systématiquement toutes les embarcations de clandestins commencent à sortir de leur réserve. Dans toute l'Afrique, l'appel d'air a été entendu et les réseaux de passeurs font actuellement la richesse de toutes les tribus du nord de la Lybie ou des pécheurs maghrébins.
Décidément en plus de Yellowstone, des quatre lunes, d'une menace thermonucléaire en Ukraine et sans parler de Valls à Matignon, il y a une certaine dose d'Armageddon et d'Apocalypse depuis quelque temps dans les dépêches. Dans le style, on reparle beaucoup, en ce moment, d'Ebola ou du Camp des Saints. Que se passe-t-il exactement ?
Bien que les responsables de l’Organisation mondiale de la santé travaillent pour stopper la diffusion du virus Ebola qui touche maintenant sept pays africains, le virus, l'un des plus violents qui soient, semblent bien poursuivre sa progression. En Guinée, les fonctionnaires du département de la Santé ont rapporté que l’épidémie était sous contrôle. L’épidémie du virus Ebola aurait déjoué, ces dernières semaines en Afrique de l'Ouest tous les efforts de confinement. D’après les groupes de secours chrétiens travaillant en Guinée et au Libéria, le nombre d’infections a grimpé de 15 % la semaine dernière.
En fait, bien qu’elle soit proche de la souche du Zaïre, la souche d’Ebola dont on parle actuellement est, d’après l’Organisation mondiale de la santé, nouvelle et différente. Cela explique les faux résultats négatifs des tests et ce sont ces faux résultats négatifs qui expliquent qu'en Afrique des personnes infectées par le virus sont rentrées chez elles pour se remettre de ce qu’elles pensaient être la grippe, ce qui a eu pour conséquence immédiate de propager davantage cette nouvelle souche du virus. Le résultat aurait été, en particulier en Guinée, une perte complète de cloisonnement de cette épidémie du virus.
On a parlé de quarante travailleurs clandestins venus de la zone d’épidémie qui auraient débarqué à Pise, en Italie et y seraient déjà isolés du fait de fièvres et de conjonctivites ensanglantées autour des yeux, indiquant des signes d’infection possible au virus Ebola, ce qu'a nié énergiquement la direction du centre de santé de Pise. Avec une arrivée probable à Pise du virus, le continent européen serait, en effet, immédiatement en danger. En fait, que le virus Ebola rentre en Europe par l'Italie n'aurait rien d'étonnant. Ce samedi 26 avril, à Lampedusa, 850 clandestins sont arrivés après avoir été secourus dans le Canal de Sicile. De fait, l'Italie a voté la semaine dernière une loi obligeant de secourir tous les bateaux d'illégaux pour éviter les naufrages mortels. C'est selon nous un véritable suicide collectif pour l'Europe, prôné bien évidemment au nom de l'humanitarisme stupide, le pape François en tête. Les médias continuent de parler d'immigration sauvage mais il s'agit maintenant d'un d'exode massif d’Africains, d'un déplacement gigantesque de population en déshérence fuyant un continent ravagé par les guerres ethniques et l'extrémisme religieux. Une première sonnette d’alarme aurait officiellement été tirée à Lampedusa, par le Ministère de la Santé italien.
D’après un rapport administratif, c'est le 16 avril qu'aurait été enregistrée la date à laquelle l’île sicilienne fut touchée par l’épidémie. S’il prenait quartier en Italie, le virus Ebola extrêmement contagieux (une simple poignée de main suffit à la transmission) passerait en France et sur tout le continent très rapidement. En cas d'épidémie confirmée en Europe, le transport aérien transatlantique serait forcément très vite concerné et la panique pourrait être sans précédent. Le virus Ebola est incurable (85 % de taux de mortalité), et est quasiment mortel au bout de quelques jours.
En Italie, ces derniers jours, l’inquiétude grandit face aux conséquences sanitaires du déferlement actuel des clandestins. Après Chieti dans les Abruzzes, c’est au tour de Modica, dans la province de Raguse en Sicile, de manifester sa peur. La ville est voisine du port de Pozzallo, où les clandestins arrivent actuellement à jet continu. Même la Repubblica a reconnu que « Pozzallo explose ». Il semblerait que les autocars, loués par l’administration à des compagnies privées, soient employés indifféremment pour le transfert des clandestins en centre d’accueil le soir et pour les sorties scolaires. Sans vouloir dramatiser il va de soi que la situation sanitaire des clandestins est aléatoire. On diagnostique régulièrement chez les immigrés la tuberculose, la gale, voire le sida. Certains parents italiens, en signe de protestation, ont décidé ces derniers jours de ne pas envoyer leurs enfants à une sortie scolaire tant que les transports en commun ne seraient pas vérifiés.
Ainsi, les Italiens anesthésiés et cadenassés par l'idéologie mondialiste du pape et la décision européenne du mois dernier de secourir systématiquement toutes les embarcations de clandestins commencent à sortir de leur réserve. Dans toute l'Afrique, l'appel d'air a été entendu et les réseaux de passeurs font actuellement la richesse de toutes les tribus du nord de la Lybie ou des pécheurs maghrébins.
Source |
Metamag