Invité d’Europe 1, l’ancien président de la République regrette que la France ne travaille pas ce jeudi…
«Ce n’est pas simplement une journée fériée, c’est aussi une journée chômée, où la France ne travaille pas, où la France, qui n’a pas de croissance, va se reposer trois jours. C’est tout à fait illogique», a lancé sur Europe 1 l’ancien président de la république ce jeudi matin, jour de commémoration de l’armistice de 1945.
Engagé à 19 ans, Valéry Giscard D’Estaing a fait la guerre en Autriche et en Allemangne et a vécu la libération de la France le 8 mai 1945, journée qu’il s’est remémoré: «Le 8 mai pour moi est émouvant car j’étais sur un char en Autriche. On avait traversé l’Allemagne. On était dans un petit champ, avec des pommiers, et tout à coup, on nous dit : "c’est fini, on s’arrête, c’est l’armistice". On a été pris par surprise! On ne s’attendait pas à cela.»
«Ce n’est pas simplement une journée fériée, c’est aussi une journée chômée, où la France ne travaille pas, où la France, qui n’a pas de croissance, va se reposer trois jours. C’est tout à fait illogique», a lancé sur Europe 1 l’ancien président de la république ce jeudi matin, jour de commémoration de l’armistice de 1945.
Engagé à 19 ans, Valéry Giscard D’Estaing a fait la guerre en Autriche et en Allemangne et a vécu la libération de la France le 8 mai 1945, journée qu’il s’est remémoré: «Le 8 mai pour moi est émouvant car j’étais sur un char en Autriche. On avait traversé l’Allemagne. On était dans un petit champ, avec des pommiers, et tout à coup, on nous dit : "c’est fini, on s’arrête, c’est l’armistice". On a été pris par surprise! On ne s’attendait pas à cela.»
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