Jean-Pierre Bex
Essayons de mettre un peu de clarté, de
franchise et de logique dans les débats concernant l’exode vers l’Europe
de foules de « migrants », comme nos zélites voudraient qu’on appelle
ces malheureux. Ils ne vont pas au hasard dans un monde immense et sans
frontières. Non ! Ils risquent leurs vies pour quitter leurs pays
ravagés et en atteindre d’autres où l’espoir est encore possible. Leur
odyssée est jalonnée par des frontières plus ou moins étanches. Il
s’agit en fait d’immigrants volontairement clandestins, donc hors-la-loi
sur les terres d’accueil, qui ont décidé, délibérément et avec
préméditation, de forcer illégalement la porte de ce qu’ils considèrent
comme l’eldorado européen.
Le nombre infini des miséreux du monde, défie toute planification, déborde nos structures d’accueil et plombe financièrement ce qui reste des possibilités de notre si généreux État-Providence. Leur espérance est exploitée, avant le départ, au prix fort par d’ignobles individus dits « passeurs » que l’on stigmatise verbalement sans nuire en rien à leur trafic, au contraire. À l’arrivée, ils sont « aidés » par des associations dites philantropiques dont ils constituent le fond de commerce. La France avec ses six millions de demandeurs d’emploi (toutes catégories confondues), un tissu industriel en lambeaux et une dette publique de plus de deux trillions d’euros ne peut raisonnablement pas leur proposer une insertion décente.
Mais la totalité de nos élites ne veut en rien diminuer et à plus forte raison annuler cette immigration-invasion. Par conviction impérative du MAC et panurgisme consensuel !
Leur idéologie, obligatoire pour faire partie des élites, que l’on peut résumer par l’acronyme MAC (Mondialisme, Antiracisme et Cosmopolitisme), le leur interdit formellement. Elles pourraient si elles le voulaient arrêter cette immigration illégale. Mais elles ne le veulent pas et dissimulent cette volonté qui déplaît à leur peuple, derrière l’écran de la compassion, de la nécessité d’accueil du prochain ou du lointain en difficulté, du respect des droits de l’homme… Pourtant on ne fait pas de bonne politique avec des sentiments fussent-ils du meilleur tonneau.
Nos élites savent qu’accueillir tant d’immigrés illégaux impose de sacrifier le soutien nécessaire aux plus pauvres des Français (arrière pensée électorale suggérée par Terra Nova). Elles s’accrochent pour une fois à une tradition : « la France terre d’accueil ». Comme si la France moderne n’avait pas sacrifié d’autres traditions plus utiles !
Comment un pays peuplé de racistes invétérés, dont les autorités se repentent tous les jours des leurs méfaits ancestraux, supposés ou exagérés, sur place ou dans les colonies, peut-il encore attirer autant de réfugiés, au péril de leur vie ?
Le nombre infini des miséreux du monde, défie toute planification, déborde nos structures d’accueil et plombe financièrement ce qui reste des possibilités de notre si généreux État-Providence. Leur espérance est exploitée, avant le départ, au prix fort par d’ignobles individus dits « passeurs » que l’on stigmatise verbalement sans nuire en rien à leur trafic, au contraire. À l’arrivée, ils sont « aidés » par des associations dites philantropiques dont ils constituent le fond de commerce. La France avec ses six millions de demandeurs d’emploi (toutes catégories confondues), un tissu industriel en lambeaux et une dette publique de plus de deux trillions d’euros ne peut raisonnablement pas leur proposer une insertion décente.
Mais la totalité de nos élites ne veut en rien diminuer et à plus forte raison annuler cette immigration-invasion. Par conviction impérative du MAC et panurgisme consensuel !
Leur idéologie, obligatoire pour faire partie des élites, que l’on peut résumer par l’acronyme MAC (Mondialisme, Antiracisme et Cosmopolitisme), le leur interdit formellement. Elles pourraient si elles le voulaient arrêter cette immigration illégale. Mais elles ne le veulent pas et dissimulent cette volonté qui déplaît à leur peuple, derrière l’écran de la compassion, de la nécessité d’accueil du prochain ou du lointain en difficulté, du respect des droits de l’homme… Pourtant on ne fait pas de bonne politique avec des sentiments fussent-ils du meilleur tonneau.
Nos élites savent qu’accueillir tant d’immigrés illégaux impose de sacrifier le soutien nécessaire aux plus pauvres des Français (arrière pensée électorale suggérée par Terra Nova). Elles s’accrochent pour une fois à une tradition : « la France terre d’accueil ». Comme si la France moderne n’avait pas sacrifié d’autres traditions plus utiles !
Comment un pays peuplé de racistes invétérés, dont les autorités se repentent tous les jours des leurs méfaits ancestraux, supposés ou exagérés, sur place ou dans les colonies, peut-il encore attirer autant de réfugiés, au péril de leur vie ?