Jean-Yves Le Gallou
Le Camp de saints, la prophétie de Jean
Raspail, se réalise nos yeux. Sans réactions rapides, les peuples
européens et leur civilisation multimillénaire seront engloutis.
1. Disons les choses : un « réfugié » cela s’accueille, un « migrant » cela se contrôle, un envahisseur cela se repousse. Et c’est bien d’une invasion qu’il s’agit, c’est-à-dire « d’une irruption soudaine » et non désirée de populations venues d’ailleurs. Et dont beaucoup d’individus ont déjà un comportement revendicatif sinon hostile.
2. Posons le bon diagnostic : le problème n’est pas franco-français, il est européen. La solution ne viendra donc pas d’un paléo républicanisme vintage mais de la recherche d’alliances : avec les gouvernements qui résistent (hongrois, tchèques, slovaques, polonais, baltes, notamment) ; avec les partis et les formations qui s’opposent (sans trop faire la fine bouche) ; et les peuples trahis par des dirigeants sous influence étrangère, les Merkel, les Hollande, les Renzi et les Tsipras.
3. Osons affirmer les ruptures nécessaires : des pays qui refusent l’asile politique à Assange et Snowden ne doivent pas l’accorder à des affabulateurs. La convention sur les réfugiés n’est plus adaptée au temps actuel. Et il faut dénoncer la Convention européenne des droits de l’homme dont la Cour de Strasbourg, le Conseil constitutionnel, le Conseil d’État et la Cour de Cassation font une interprétation idéologique délirante.
4. Coupons les pompes aspirantes, débranchons notre système économique et social du monde entier. Mettons en place la préférence nationale et européenne sans demi-mesure : pour l’accès à l’emploi et au système de protection sociale. Affirmons aussi la préférence pour notre civilisation et cessons les accommodements DÉSraisonnables avec l’islam.
5. Utilisons ce qui reste des armées et des marines européennes pour ce qu’elles sont faites : protéger les frontières et non aller chercher des envahisseurs.
6. Méditons enfin ce point de vue du géopoliticien et ancien ministre des Affaires étrangères Hubert Védrine (Le Monde, 13 mai) : « Un recours à la force sera à un moment ou à un autre inévitable. ». Le plus tôt sera le mieux.
1. Disons les choses : un « réfugié » cela s’accueille, un « migrant » cela se contrôle, un envahisseur cela se repousse. Et c’est bien d’une invasion qu’il s’agit, c’est-à-dire « d’une irruption soudaine » et non désirée de populations venues d’ailleurs. Et dont beaucoup d’individus ont déjà un comportement revendicatif sinon hostile.
2. Posons le bon diagnostic : le problème n’est pas franco-français, il est européen. La solution ne viendra donc pas d’un paléo républicanisme vintage mais de la recherche d’alliances : avec les gouvernements qui résistent (hongrois, tchèques, slovaques, polonais, baltes, notamment) ; avec les partis et les formations qui s’opposent (sans trop faire la fine bouche) ; et les peuples trahis par des dirigeants sous influence étrangère, les Merkel, les Hollande, les Renzi et les Tsipras.
3. Osons affirmer les ruptures nécessaires : des pays qui refusent l’asile politique à Assange et Snowden ne doivent pas l’accorder à des affabulateurs. La convention sur les réfugiés n’est plus adaptée au temps actuel. Et il faut dénoncer la Convention européenne des droits de l’homme dont la Cour de Strasbourg, le Conseil constitutionnel, le Conseil d’État et la Cour de Cassation font une interprétation idéologique délirante.
4. Coupons les pompes aspirantes, débranchons notre système économique et social du monde entier. Mettons en place la préférence nationale et européenne sans demi-mesure : pour l’accès à l’emploi et au système de protection sociale. Affirmons aussi la préférence pour notre civilisation et cessons les accommodements DÉSraisonnables avec l’islam.
5. Utilisons ce qui reste des armées et des marines européennes pour ce qu’elles sont faites : protéger les frontières et non aller chercher des envahisseurs.
6. Méditons enfin ce point de vue du géopoliticien et ancien ministre des Affaires étrangères Hubert Védrine (Le Monde, 13 mai) : « Un recours à la force sera à un moment ou à un autre inévitable. ». Le plus tôt sera le mieux.
source |