Les quelques « Farid Fillon » qui ont
commencé à fleurir sur le Web effraient l’équipe du gagnant de la
primaire républicaine. Le phénomène « Ali Juppé » a bien rendu service,
mais les plaisanteries les meilleures sont les plus courtes, n’est-ce
pas ? Il suffit, maintenant. Pour Alain, on a bien rigolé, mais ça va…
On arrête !
Campagne de caniveau, fake, photomontages… La presse politiquement correcte n’en peut plus de dénoncer ces odieuses campagnes. La petite fille voilée posant aux côtés de François Fillon à l’occasion de l’inauguration de la grande mosquée d’Argenteuil ne semblait pas déranger le Premier ministre qu’il était, venu tout spécialement couper le ruban au mépris de la loi de séparation de 1905. Il n’y a aucun photomontage, pas plus que de caniveau, zéro fake, juste une réalité insoutenable pour le journaliste bien-pensant. Rappeler cette réalité est mal. Un acte nauséabond, horrible et, bien entendu, d’extrême droite. En règle générale, tout ce qui contrarie la ligne définie par le bobo est d’extrême droite. Bientôt, le monde entier sera d’extrême droite, excepté quelques héros dont on rencontre les plus beaux spécimens dans les rédactions de BFM TV, Europe 1, France 5, etc.
Dans l’album photos-souvenirs, celle de François Fillon (encore lui) posant tout sourire aux côtés de l’imam de Stains dont les relations avec les milieux extrémistes sont, pour le moins, très floues a scandalisé l’entourage du saint homme. « C’est un photomontage », se sont-ils écriés ! Et puis se sont ravisés devant la vidéo qui confirmait, sans aucun trucage possible, la rencontre des deux hommes dans un esprit de franche cordialité. « Tout compte fait, oui, il l’a rencontré. Eh ben, dis donc, on avait oublié… »
Le photomontage disqualifié, reste le caniveau.
La vérité dans les égouts. Seul l’oubli doit prévaloir. Pour le rédacteur du Huffington Post qui dénonce ces campagnes « nauséabondes », un bon citoyen est un citoyen atteint d’Alzheimer. Les autres, du balai ! Avec l’anathème « extrême droite » pour seul bagage, le journaliste acquis à la cause « fillono-juppesque » s’épuise à dénoncer. Jamais il ne démontre. Comme un cycliste sur un tapis roulant, il pédale… Et s’étonne que le décor ne change pas. Chapeau, l’artiste !
Campagne de caniveau, fake, photomontages… La presse politiquement correcte n’en peut plus de dénoncer ces odieuses campagnes. La petite fille voilée posant aux côtés de François Fillon à l’occasion de l’inauguration de la grande mosquée d’Argenteuil ne semblait pas déranger le Premier ministre qu’il était, venu tout spécialement couper le ruban au mépris de la loi de séparation de 1905. Il n’y a aucun photomontage, pas plus que de caniveau, zéro fake, juste une réalité insoutenable pour le journaliste bien-pensant. Rappeler cette réalité est mal. Un acte nauséabond, horrible et, bien entendu, d’extrême droite. En règle générale, tout ce qui contrarie la ligne définie par le bobo est d’extrême droite. Bientôt, le monde entier sera d’extrême droite, excepté quelques héros dont on rencontre les plus beaux spécimens dans les rédactions de BFM TV, Europe 1, France 5, etc.
Dans l’album photos-souvenirs, celle de François Fillon (encore lui) posant tout sourire aux côtés de l’imam de Stains dont les relations avec les milieux extrémistes sont, pour le moins, très floues a scandalisé l’entourage du saint homme. « C’est un photomontage », se sont-ils écriés ! Et puis se sont ravisés devant la vidéo qui confirmait, sans aucun trucage possible, la rencontre des deux hommes dans un esprit de franche cordialité. « Tout compte fait, oui, il l’a rencontré. Eh ben, dis donc, on avait oublié… »
Le photomontage disqualifié, reste le caniveau.
La vérité dans les égouts. Seul l’oubli doit prévaloir. Pour le rédacteur du Huffington Post qui dénonce ces campagnes « nauséabondes », un bon citoyen est un citoyen atteint d’Alzheimer. Les autres, du balai ! Avec l’anathème « extrême droite » pour seul bagage, le journaliste acquis à la cause « fillono-juppesque » s’épuise à dénoncer. Jamais il ne démontre. Comme un cycliste sur un tapis roulant, il pédale… Et s’étonne que le décor ne change pas. Chapeau, l’artiste !
Face à la menace de prolifération du sobriquet « Farid », le staff de
l’outragé compte riposter en adjoignant à son site une page anti-intox.
Carte d’identité à l’appui, livret de famille, extrait d’acte de
naissance… Il s’appelle bien François. Photo des chaussures : il ne
porte pas de babouches. Toujours rasé de près. « Il veut lutter contre
le totalitarisme islamique… Il est remonté comme un coucou… Si on ne
l’arrête pas, il est capable d’aller taguer des mosquées. Retenez-le !
Il devient islamophobe, on ne le tient plus. » C’est dingue, ce que les
campagnes électorales vous changent un homme ! Allez, c’est entendu, on
ne l’appellera pas Farid. Que diriez-vous de « François Filons à la
mosquée » ?
Jany Leroy
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Jany Leroy
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