Marwan Muhammad est un personnage de Michel Houellebecq dans Soumission, as simple as that.
Visage aimable de l’islamisation du pays à marche forcée, il n’a jamais
hésité à s’afficher avec des individus sulfureux. Il compte parmi ses
relations Rachid Abou Houdeyfa, l’imam de Brest qui déclarait que la
musique pouvait transformer les enfants en porcs, le parti raciste
anti-blanc des Indigènes de la République, les Frères musulmans de
l’UOIF, le blogueur Al-Kanz ou bien encore Tariq Ramadan, dont vous
devez tous connaître la carrière… Qui se ressemble s’assemble !
Marwan Muhammad est la nouvelle star de l’islamisme sympa que les éditocrates de la presse bobo veulent nous vendre à toute force. Il avait tout pour plaire à ces gens-là : un esprit de sérieux que ne dément jamais son visage fermé par un bouc bien taillé, une dialectique marxiste culturelle axée sur la détestation de l’oppresseur occidental et une propension rare à la victimisation.
Sous le masque d’une pseudo-modernité de façade, Marwan Muhammad défend une vision obscurantiste de l’islam où le fait, pour un homme, de serrer la main d’une femme s’apparente à de la « fornication »… Nous, simples mortels, Français simplex, ontologiquement coupables de tous les crimes de l’humanité, ne pouvons pas comprendre qu’il s’agit simplement d’une distance culturelle.
Trop intolérants, nous voulons forcer les musulmans à respecter les lois de la République française, chose que se refuseront à faire les partisans du Collectif contre l’islamophobie en France.
Pour ces gens, interdire la burka ou prohiber les minarets sur le
territoire national constitueraient d’affreuses atteintes aux musulmans,
victimes éternelles de discriminations… On rêve. Pourtant, ces discours
séduisent la deuxième gauche, acquise aux idées multiculturelles et au
dogme du village global. Ethno-masochistes, ils voient en l’autre un
idéal, un substitut, une victime et un remplaçant potentiel.Marwan Muhammad est la nouvelle star de l’islamisme sympa que les éditocrates de la presse bobo veulent nous vendre à toute force. Il avait tout pour plaire à ces gens-là : un esprit de sérieux que ne dément jamais son visage fermé par un bouc bien taillé, une dialectique marxiste culturelle axée sur la détestation de l’oppresseur occidental et une propension rare à la victimisation.
Sous le masque d’une pseudo-modernité de façade, Marwan Muhammad défend une vision obscurantiste de l’islam où le fait, pour un homme, de serrer la main d’une femme s’apparente à de la « fornication »… Nous, simples mortels, Français simplex, ontologiquement coupables de tous les crimes de l’humanité, ne pouvons pas comprendre qu’il s’agit simplement d’une distance culturelle.
Trop intolérants, nous voulons forcer les musulmans à respecter les lois de la République française, chose que se refuseront à faire les partisans du Collectif contre l’islamophobie en France.
Très fourbe, le président du Collectif contre l’islamophobie en France a récemment publié un texte dans lequel il explique que « le racisme et l’intolérance, c’est prendre la différence de l’autre pour en faire un problème ». Un moyen pernicieux de nous dire que si nous n’acceptons pas le port du voile islamique dans les lieux publics, c’est peut-être parce que nous serions racistes !
Organisateur de la cabale contre le restaurateur du Cénacle, accusé d’islamophobie pour avoir refusé de servir deux femmes voilées venues en service commandé, Marwan Muhammad ne trouve pourtant rien à redire contre les cafés réservés aux hommes qui poussent comme des champignons dans les zones de non-France. Disons-le tout net : poison islamiste aux méthodes léninistes, Marwan Muhammad agit contre la France en essayant de traduire politiquement l’islam de combat.
Gabriel Robin
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